Première semaine de formation pour devenir généalogiste familial: Je suis hyper contente, enfin, je fais ce qui me plait.

Pour le moment, je découvre les archives départementales de mon département et je m'exerce à monter des arbres généalogiques.

J'adore fouiller dans les archives; je me sens comme un enquêteur du passé.

Voilà le dernier article à propos du tricotd'une chaussette.

Il faut d'abord que vous tricotiez jusqu'à la hauteur du petit doigt de pied en gardant le même nombre de mailles.

Ensuite les diminutions sont tout d'abord faites tous les deux tours, puis à chaque tours.

IIl faut pour cela, d'une part tricoter ensemble à l'endroit l'avant dernière maille de l'aiguille n°1 et de l'aiguille 3 avec celle qui la précède.

et d'autre part, faire une diminution de gauche sur les deuxième et troisième mailles de l'aiguille 2 et 4.

Lorsqu'il ne reste plus que huit mailles, les répartir sur deux aiguilles, casser un log bout de fil, enfiler une aiguille à coudre et fermer en réunissant les mailles des deux aiguilles, en passant simplement le fil dans les mailles.

Arrêtez le fil sur l'envers.

Et voilà le travail!  

A première vue l’idée m’a parue bizarre. Comment mon blog peut-il être autrement que neutre en carbone, puisque jusqu’à la preuve du contraire, il est virtuel. Mais je suis allée sur le site blog neutre en carbone et là j’ai compris que pour chaque article et badge mis sur son blog accompagné d’un email à blog-zerocarbone@bonial.fr, vous contribuez à la plantation d’un arbre. Alors, je dis banco.

Pour moi, un arbre, c’est synonyme de vie.

Voilà, faites comme moi.

Faut pas grand chose pour croire que cette photo a été prise sous le soleil! Pourtoant ce n'est pas vraiment le cas. Les champs de colza nous mettent un peu de couleurs dans notre campagne morose. Gardons l'espoir que le beau temps va bientôt revenir

Une partie de mes ancêtres ont été forgerons aux forges de Gueugnon. Comme vous le savez déjà, je suis passionnée de généalogie et les forges tiennent une place importante dans ma famille paternelle.

D'après mes recherches, ma famille paternelle est originaire de Haute Saône, dans la region de Villersexel. Là-bas les métiers de la forge faisaient partie des traditions.

Tout cela m'a amené à m'intéresser aux forges, et notamment celles de Gueugnon puisque enfant, j'entendais mon grand-père parler des Forges de Gueugnon. Elles ont été crées par Jean Hector de Fay (1684-1764), marquis de la tour Maubourg. C'est sous le nom de forges de Villefay qu'elles connurent leurs premiers succès (1728-1764). A sa mort, les forges connaissent un certain déclin, sans pour autant disparaître.

C'est Pierre Joseph Campionnet, (1808-1845), originaire de Perouse (Territoire de Belfort), qui redonne de l'essor à Gueugnon et aux forges à partir de 1845, date à laquelle il rachète les forges de Gueugnon.

Ma question reste la suivante: qu'est-ce qui a fait partir mon ancêtre vers Gueugnon? Les conditions économique de l'époque y sont certainement pour quelque chose, mais pourquoi Gueugnon?